La vieille guérisseuse de l’âme disait :
On n’a pas mal au dos, ce qui fait mal c’est le poids de nos MAUX du passé et du présent.
On n’a pas mal aux yeux, ce qui fait mal c’est l’injustice de l’enfance à Aujourd’hui.
On n’a pas mal à la tête, ce qui fait mal ce sont les PENSÉES SOMBRES et LA CULPABILITÉ .
On n’a pas mal à la gorge, ce qui fait mal c’est ce qu’on N’EXPRIME PAS par PEUR ou exprime avec RAGE.
On n’a pas mal à l’estomac, ce qui fait mal c’est ce que l’âme ne digère pas, la MALVEILLANCE ENVERS AUTRUI.
On n’a pas mal au foie, ce qui fait mal c’est la COLÈRE et la HAÎNE.
On n’a pas mal au Cœur, ce qui fait mal ce sont les blessures liées à la mauvaise interprétation de L’AMOUR qui vous ont conduit à vivre L’ABANDON, le REJET , la TRAHISON et la DÉCEPTION SENTIMENTALE.
Et c’est bien lui, malgré tout
L’AMOUR, L’ÉNERGIE DIVINE CRÉATRICE
Qui contient le plus puissant médicament.
L’AMOUR est la réponse à tout vos maux.
Je sais que parfois il est dur de rester à mes côtés. Je sais que parfois je suis compliquée à comprendre.
J’ai des silences profonds et mélancoliques où je ne laisse entrer personne.
J’ai des larmes difficiles à comprendre.
J’ai une sensibilité tellement développée qu’il suffit d’un rien pour me blesser et me casser en mille morceaux.
J’ai un besoin d’amour si fort que parfois ça me fait mal et me fait peur.
C’est pour ça que je ne laisse personne entrer dans mon cœur. C’est pour ça qu’il est si difficile d’être près de moi, de m’accepter, de m’aimer, de m’embrasser. C’est souvent plus facile de s’enfuir et de me laisser seule.
C’est comme l’eau de la mer, si salée qu’elle est impossible à boire. Je suis comme un orage d’été, soudaine et inattendue, légère et imprévisible, colorée comme les confettis et fragile comme une bulle de savon.
Je suis comme un lever de soleil sur la mer, douce et délicate mais qui peut être aveuglée si vous me fixez intensément.
Je suis sûre et têtue, sage et naïve, instinctive et sauvage, passionnée et mélancolique, pleine de doutes et de rêves.
Je suis différente de ce que j’étais hier et de ce que je deviendrai demain.
Mais au fond, ce qui est important, ce n’est pas de me définir mais d’exister.
Et J’existe, j’aime, je vis, je me bats, je tombe et je me lève. Avec le soleil dans les yeux et le printemps dans le cœur….
[Isabelle Galle]
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