Les personnes hyper-sensibles sont souvent perçues comme êtres des faibles ou des êtres brisés.
Ressentir intensément les choses n’est pas un symptôme de faiblesse :
c’est la marque de fabrique de l’être authentique et compatissant.
Ce n’est pas l’empathe qui est brisé, c’est la société qui a des déficiences affectives et qui est devenue dysfonctionnelle.
_ Anthon St. Maarten
VOUS DECIDEZ VOUS-MÊME D’ÊTRE HEUREUX
Il s’agit d’une décision.
Si vous êtes déterminé à être heureux, c’est comme si on vous posait une lampe frontale sur la tête, qui brille et met en lumière toutes les possibilités.
Cela ne signifie pas que plus rien ne vous dérangera: le fait de toujours dire oui n’a jamais rendu personne heureux.
Il s’agit plutôt d’avoir conscience de la sensation fondamentale du bonheur et de ce que vous pouvez faire pour la retrouver lorsqu’elle vous a quitté.
Susanne Moeberg
Extrait de son livre : Hypersensible et bien dans ma peau : Le défi de la haute sensibilité
Résumé :
L’hypersensibilité:
Un don et un défiSENSIBLE, MAIS FORT
Vous percevez les stimuli (bruit, douleur, stress…) avec plus d’intensité? Découvrez comment transformer en force intérieur ce que vous considérez peut-être comme un fardeau.QUAND LA SURCHARGE EMOTIONNELLE EST TROP FORTE
Prenez conscience de vos propres besoins et retrouvez une vie épanouie et heureuse.SENTEZ-VOUS LEGER, TOUT SIMPLEMENT
Grâce aux exercices, aux pages à remplir et aux astuces quotidiennes, cet ouvrage encourageant et empathique vous aidera à évaluer votre sensibilité et à déployer vos ailes… car vous possédez un trésor à apprivoiser.
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Eloge de l’hypersensible
Qu’est-ce qui nous affecte ? Assistons-nous à un retour du sensible ? Ces questions, l’hypersensible contemporain les repose dans l’art, la pensée, l’écriture. Il invite à réhabiliter ce qui, en chacun de nous, apparaît trop souvent comme une faiblesse à surmonter : la fragilité, la vulnérabilité. Qualités dites « féminines » ?
Ce dont les hommes en tout cas devaient autrefois se garder, préservant leur impénétrabilité – ce tabou fondateur de toute différenciation. L’hypersensibilité doit se concevoir comme un outil d’analyse, un instrument de connaissance fine au service d’un mode de pensée subtil, aussi fragile qu’endurant, permettant d’inventer d’autres modalités créatrices, étrangères à l’habituel partage sexué.
Selon quelle autre logique que celle de l’éternelle division qui oppose la douceur réceptive des unes à la force de pénétration des autres ? Question que posèrent eux aussi Deleuze ou Barthes, mais également quelques femmes peu soucieuses d’incarner la force phallique du pouvoir intellectuel de l’époque, comme Marguerite Duras, laquelle joua crânement l’idiotie ou Louise Bourgeois, l’éternelle femme-enfant destructrice et moqueuse. Question laissée en suspens (c’est sa définition même que d’imaginer le suspens des oppositions) et qu’il faut donc inlassablement reprendre.
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