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Les quatre secrets de la communication non-violente

communication non-violente

La communication non-violente a été appelée comme ça en hommage à Mohandas Karamchand Gandhi, et a été “inventée” par Marshall Rosenberg, un psychologue, qui s’est lui-même inspiré des travaux d’autres psychologues.

Elle a pour but de communiquer de la façon la plus empathique possible avec de la compassion afin d’échanger le mieux possible sur ce ce que l’on souhaite dans le respect de soi et de l’autre.

En voici les principaux points :

1) Nous sommes responsables de la satisfaction de nos besoins.

C’est pour cela qu’il est inutile de tenir rigueur à une autre personne de ne pas satisfaire nos besoins surtout si nous n’avons, de notre côté, formulé aucune demande en ce sens. La communication non-violente passe donc pour commencer par l’affirmation de soi, c’est à dire par le verbe “oser” : oser demander, oser refuser, oser verbaliser nos émotions, nos besoins.

2) Nous devons arrêter de juger les autres selon nos critères.

Nos opinions, nos valeurs, nos croyances, car ce ne sont aucunement des vérités absolues. Et c’est souvent dans ces jugements que la violence prend sa source : quand on juge, on prend le risque de blesser. Le mieux est donc d’essayer d’observer la situation (ce qui nous gêne, ce que nous souhaitons) de façon neutre, sans évaluer l’autre en bien ou en mal.

3) Nous avons tout à gagner à exprimer nos émotions, au lieu de les laisser nous ronger de l’intérieur.

Ne dit-on pas, en effet, qu’on peut laisser une émotion s’exprimer ou s’imprimer ? Encore faut-il essayer de l’exprimer de façon responsable et consciente. Pour cela, il est toujours mieux de préférer le “je” responsable au “tu” accusateur.

4) Prenons l’habitude de formuler des demandes précises.

Et négociables, en lien avec nos besoins propres, au lieu de formuler des plaintes, des exigences, des sous-entendus ironiques.

Il vaut mieux dire en effet :

“Je me sens débordée, j’ai vraiment besoin d’aide pour le ménage, pourrais-tu passer le balai s’il te plaît ?” plutôt que : “Tu ne fous jamais rien à la maison ! Je suppose que ça doit être trop difficile pour toi de passer le balai ?”.

De Jean-Pierre Bobson

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Publié par Teddy Tanier

Passionné par la poésie et la littérature depuis tout petit j'ai toujours aimé écrire seul dans la nuit quand la journée s'éteint. Car cette atmosphère me transporte et me fait voyager, elle m'inspire et me rassure. On peut encore rêver. J'aime l'art et particulièrement les livres c'est pour cela qu'Inspirant me permet de présenter des auteurs connus et moins connus pour faire partager ma passion et rendre hommage aux grands écrivains ou philosophes.

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correspondez pas

J’ai appris que si vous ne correspondez pas à ce que les gens attendent de vous, ils ne vous aiment généralement pas… et ça me va.