Teddy Tanier
La colère d’une mère critiquant son ex-conjoint pour ne pas avoir payé la pension due à ses enfants est devenue virale sur les réseaux sociaux et a reçu des milliers de commentaires de femmes vivant des situations similaires.
Le texte a été rédigé de manière anonyme par une Britannique sur la page « Single Mother Still Standing ».
Dans le post, la mère reproche à son ex-conjoint de déclarer beaucoup moins que ce qu’il gagne réellement pour ne pas payer ce qui est dû à ses enfants. « Ce que tu gagnes ne finance pas mes vacances », écrit-elle. « Je n’utilise pas ton argent pour acheter des vêtements, du champagne, des abonnements à une salle de sport ou pour augmenter mes économies (qui n’existent pas).
Lorsque tu parcours mes réseaux sociaux et que tu me vois profiter de week-ends avec des amis, sois assuré que je paie. J’exerce deux emplois pour financer mon style de vie et répondre aux besoins des enfants.
C’est un concept que tu sembles incapable de comprendre. Peu importe ce qui s’est passé entre toi et la femme que tu aimais suffisamment pour avoir deux enfants, tu as toujours une responsabilité financière envers elle. Juste parce que tu me détestes, ne les fais pas souffrir.
Elle a poursuivi en déclarant : « Laisse-moi t’expliquer : tout l’argent que tu me verses va directement à nos enfants, pour leurs vêtements, leurs chaussures, leurs cours de natation et leurs cadeaux d’anniversaire. Le juge a fixé ce que tu devrais payer en fonction de ce que tu dis gagner, mais tu as menti et déclaré un montant bien inférieur.
Tout ce que je sais, c’est que j’essaie de donner à nos enfants un niveau de vie similaire à celui qu’ils auraient si nous étions toujours ensemble. Lorsque tu ne paies pas le montant correct, tu échoues encore une fois en tant que parent. Tout comme tu as échoué en ne te présentant pas à la pièce de Noël de notre fils après avoir promis que tu serais là.
Tu as échoué lorsque tu as refusé d’emmener notre fils à son match de football bien-aimé pendant TES week-ends, et lorsque tu as obligé notre fille à arrêter d’aller aux cours de danse le jour où tu étais avec elle. La liste continue. Je ne m’attends pas à ce que tu fasses la bonne chose. Tu es un père nul. Heureusement, ils m’ont.
Dans les commentaires, plusieurs mamans ont soutenu l’auteure. « Parfait ! Je n’aurais pas pu mieux l’écrire. Je vis la même chose à la maison », a écrit l’une d’entre elles.
