Je crois bien que toutes les relations nous donnent l’opportunité d’être, de nous aimer, de faire des choix qui nous conviennent, de nous aligner, de connaître nos limites, de nous respecter.
Je crois bien qu’il n’y a aucune relation qui fasse souffrir et que la souffrance provienne du fait que le don soit déséquilibré, non partagé.
Je crois bien que la souffrance provienne du fait que notre orgueil nous pousse à forcer quelque chose qui n’a pas lieu d’être, parce que l’on nes’écoute pas, parce que notre envie de vivre l’amour est devenu un désespoir.
Car oui, en effet, comment peut on accueillir quelqu’un lorsque notre cœur est trop petit, asphyxié par le manque de soi et les blessures?
Je crois que les relations qui ne marchent pas nous montre que nous sommes trop grand pour rester dans des endroits étriqués.
Je crois bien que les personnes qui se sentent à l’aise avec nous, c’est parce qu’elles ressentent cet espace, notre liberté.
Ceci ne signifie pas de ravaler la tristesse ou les émotions qui te traversent, juste d’accepter qu’il y a des relations qui ne sont pas faites pour durer ou se vivre.
Je crois bien que les relations ne marchent pas jusqu’à ce que cela fonctionne.
Quand les deux espaces sont prêts à s’accueillir et à vivre l’énergie qu’elles forment.
Alors remercions chaque relations qui nous permettent de nous rapprocher de plus en plus de notre authenticité en toute humilité ».
[The Blue Butterfly of Grâce]
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