J’ai planté un arbre d’amour, espérant récolter des sourires. C’était inutile. Le vent, de temps en temps, déchirait les fleurs, les fruits et les branches.
Il n’y a qu’une chose : mon amour reste debout, avec un drapeau flottant au milieu.
Il est interdit de perdre espoir, car nous sommes en juin, et le temps peut tout changer pour ceux qui croient.
Je crois aux jours bleus, emplis de paix intérieure. Aux enfants courant dans le parc, aux couples se tenant la main sous le soleil d’une matinée lumineuse.
Je crois en la force des bons sentiments, en l’énergie positive, et à la récolte des rêves, qui arrive toujours aux mains de ceux qui sèment le bien, qui répandent la lumière et les petites joies.
Je crois que la gentillesse a une voix et je crois aussi en AUJOURD’HUI, plus grand qu’hier et demain.
Je crois en la beauté et la force du sourire, au charme et à l’énergie des mots. Je crois en une force qui voit tout et soutient tout, de la meilleure manière et au bon moment.
Je crois en la gentillesse non dissimulée, aux visages sans masques et aux doses de patience qui soulèvent les montagnes, à l’affection et à l’amitié.
Je crois en la parole qui guérit, aux chants qui bercent les rêves, au rire libre, à la boussole du cœur qui indique toujours le bon chemin.
Je suis né pour croire. Et l’espoir, mes amis, est ce qui vit avec moi.