“ Ne pas chercher à ne pas souffrir,ni à moins souffrir,
mais à ne pas être altéré par la souffrance. ”(Simone Weil, La pesanteur et la grâce.)
Quand on souffre beaucoup, qu’on est très malheureux, on se coupe du monde.
On ne lui trouve plus d’intérêt, et il nous semble indifférent, presque offensant.
Mais il va pourtant, à sa manière, nous aider ou nous sauver.
Plus on souffre et plus on doit s’assurer de rester en lien avec tout ce qui nous entoure.
La souffrance est toujours aggravée et prolongée par la rupture et l’éloignement, la rétractation sur nous-mêmes.
Entraînement : lorsque je me sens malheureux, continuer de rester sensible à la beauté du monde.
Même si elle ne me soulage pas, même si elle ne m’aide pas tout de suite.
À un moment, tout basculera et elle me sauvera. ”
Méditer, jour après jour – extrait – pages 210-212
Christophe André
Le silence nous remet en accord avec la musicalité de notre vie.
Il nous offre cette possibilité extraordinaire de renouer avec notre intériorité.
Quand le silence se fait peu à peu autour de vous et en vous, alors commence à émerger notre être intérieur, avec ses voix et sa vie propre.
Inconnu
Sois fort pour que personne ne te détruise.
Sois Noble pour que personne ne t’humilie.
Sois Humble pour que personne ne t’offense.
Et le plus important;
Reste toi même pour que personne ne t’oublie…
Inconnu