Les meilleures citations inspirantes du maître Confucius
Les hommes marchent en file indienne à la surface de la terre.
Chacun porte un sac à l’avant, un autre à l’arrière.
Dans le premier, nous plaçons nos qualités.
Dans le second, nos défauts… à chacun ses critères.
Durant cette longue marche qu’on appelle la vie, nous gardons les yeux fixés sur notre sac avant, pas encore arrivés mais déjà sûr d’avoir réussi.
Dans notre dos pourtant, le poids de nos vices pend lamentablement.
Nous feignons de l’ignorer, car nous sommes trop occupés à reprocher à notre prochain les défauts qui sont les siens.
Nous nous jugeons meilleurs que lui et cependant, celui qui marche derrière nous en pense autant…
Club positif ……………………………………… ”
Le grave défaut est d’avoir des défauts et de ne pas s’efforcer de s’en corriger.”
Confucius
Si l’homme a deux oreilles et une bouche, c’est pour écouter deux fois plus qu’il ne parle.
Confucius
A ta naissance tout le monde rit et tu es le seul à pleurer. Conduis ta vie de façon à ce qu’à ta mort tout le monde pleure et que tu sois le seul à sourire.
Confucius
Le silence est un ami qui ne trahit jamais.
Confucius
Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres. Ainsi beaucoup d’ennuis te seront épargnés.
Confucius
Le contentement apporte le bonheur même dans la pauvreté. Le mécontentement apporte la pauvreté même dans la richesse.
Confucius
Celui qui aime à apprendre est bien près du savoir.
Confucius est un philosophe chinois :
Né(e) à : Tsou (Province du Shandong) , -551
Mort(e) à : Qufu, pays de Lu , -479
Né dans une famille aristocratique désargentée, il voulait, jeune, être connu et soulager la misère du monde. Ses idées pratiques et philosophiques allaient à l’encontre du milieu politique de son temps. Pourtant, Kong-Fou-Tseu, de son nom chinois, devint un philosophe et un maître incontesté.
Confucius est le personnage historique ayant le plus marqué la civilisation chinoise. Considéré comme le premier « éducateur » de la Chine, son enseignement a donné naissance au confucianisme, une doctrine politique et sociale qui a été érigée en « religion d’État » dès la dynastie Han et qui ne fut officiellement bannie qu’au début du XXe siècle.