« Un jour tu comprendras qu’on vit, toute sa vie, sur les émotions,
Les sensations de ses vingt premières années.
Ce sont les seules qui comptent. Les seules importantes parce qu’elles te façonnent. Plus tard c’est sur ces années-là que tu te retourneras.
Ce sont tes plaisirs, tes douleurs, tes déceptions de jeunesse que tu voudras retrouver.
Tu te réconcilieras avec des gens qui t’ont déçue, qui t’ont trahie.
Tu aimeras encore plus ceux qui t’ont aimée autrefois.
Tu voudras retrouver cette douleur passée, la transformer en douceur, parce c’est plus facile que de toujours aller de l’avant, toujours se battre.
Plus on vieillit, moins on a envie d’agir.
La pensée ralentit, tourne autour des mêmes choses qui deviennent des obsessions qui bercent ou qui rendent fou.
Les miennes me bercent. »
Katherine Pancol
Il y a des gens comme ça:
On se demande comment ils résistent à ce qu’ils ont connu,
On se demande d’où vient l’obstination qui leur permet de se tenir debout, de réclamer, de ne jamais s’incliner,de ne jamais se résigner, à laisser passer la chance de rire encore, De faire confiance encore,d’aimer encore.
Katherine Pancol »Encore une danse »