Sauve-moi de Guillaume Musso :
Pourquoi croise-t-on des milliers de personnes et ne s’éprend-on que d’une seule.
Seras-tu là ? de Guillaume Musso :
Tu cesseras d’être déçu quand tu auras cessé d’espérer
Que serais-je sans toi ? de Guillaume Musso :
Certains disent qu’on reconnaît le grand amour lorsqu’on s’aperçoit que le seul être au monde qui pourrait vous consoler est justement celui qui vous a fait mal.
Je reviens te chercher de Guillaume Musso :
« Et dans un dernier souffle, je comprends tout: que le temps n’existe pas, que la vie est notre seul bien, qu’il ne faut pas la mépriser, que nous sommes tous liés, et que l’essentiel nous échappera toujours. »
Je reviens te chercher de Guillaume Musso :
Je ne guérirai pas de cet amour. Tu m’as pris ma lumière, ma sève, ma confiance. Mes jours sont vides, ma vie est morte. Je fais juste semblant. De sourire, d’écouter, de répondre aux questions. Tout les jours, j’attends un signe, un geste. Que tu me délivres de ce trou noir dans lequel tu m’as laissée et que tu me dises pourquoi. Pourquoi m’as tu abandonnée ?
Guillaume Musso :
On la connaît tous, cette solitude qui nous mine parfois. Qui sabote notre sommeil ou pourrit nos petits matins. C’est la tristesse du premier jour d’école. C’est lorsqu’il embrasse une fille plus belle dans la cour du lycée. C’est Orly ou la gare de l’Est à la fin d’un amour. C’est l’enfant qu’on ne fera jamais ensemble. C’est quelquefois moi. C’est quelquefois vous. Mais il suffit parfois d’une rencontre …
La fille de papier de Guillaume Musso :
Un peu de toi est entré en moi pour toujours et m’a contaminé comme un poison.
Seras-tu là ? de Guillaume Musso :
Tout comme il existe des coups de foudre en amour, il y a quelque fois des coups de foudre en amitié.
Et après… de Guillaume Musso :
Dans la vie, les choses qui ont le plus de valeur sont celles qui n’ont pas de prix.
Que serais-je sans toi ? de Guillaume Musso :
« Tout seul on va vite, à deux on va loin » – Proverbe africian
Que serais-je sans toi ? de Guillaume Musso :
Aimer, c’est espérer tout gagner en risquant de tout perdre, et c’est aussi parfois accepter de prendre le risque d’être moins aimé que l’on n’aime.
La fille de papier de Guillaume Musso :
Les liens se font et se défont, c’est la vie . Un matin, l’un reste et l’autre part, sans que l’on sache tjs pourquoi . Je ne peux pas tt donner à l’autre ac cette épée de damocles au dessus de la tete. Je ne veux pas batir ma vie sur les sentiments, parce que les sentiments changent. Ils st fragiles et incertains. Tu les crois profonds et ils st soumis à une jupe qui passe, à un sourire enjoleur. Des gens qui s’aiment pr la vie… moi j’en connais pas .
Que serais-je sans toi ? de Guillaume Musso :
On croit toujours que certaines relations sont si fortes qu’elles pourront résister à tout, mais ce n’est pas vrai. La confiance qui s’étiole, la lassitude, les mauvais choix, les soleils trompeurs de la séduction, la voix chaude des sales cons, les longues jambes des sales connes, les injustices du destin : tout concourtà tuer l’amour. Dans ce genre de combat inégal, les chances de victoire sont minces et tiennent plus de l’exception que de la règle.
Sauve-moi de Guillaume Musso:
Jamais il n’avait eu le courage de lui avouer son amour. Certains jours, il pensait qu’elle était amoureuse de lui, mais comment en être certain ? Surtout, il ne se sentait pas de taille à supporter un refus. Il l’aimait trop pour ça.
La fille de papier de Guillaume Musso :
– Tu te rends compte tout de même que tu es en train de te détruire pour quelque chose qui n’existe pas ?
– L’amour, ça n’existe pas ?
– L’amour, ça existe sûrement. Mais toi, tu adhères à cette théorie débile de l’âme soeur. Comme s’il existait une sorte d’emboitement parfait entre deux individus prédestinés à se rencontrer…
– Ah bon, c’est débile de croire qu’il existe peut-être quelqu’un capable de nous rendre heureux, quelqu’un avec qui on aurait envie de vieillir ?
– Bien sûr que non, mais toi, tu crois à autre chose : à cette idée qu’il n’y aurait sur cette Terre qu’une seule personne faite pour nous. Comme une sorte de part manquante originelle dont on aurait gardé la marque dans notre chair et dans notre âme.
Sauve-moi de Guillaume Musso
Pourquoi croit-on que derrière un beau visage se cache obligatoirement une belle âme ?
Et après… de Guillaume Musso
Il ne faut pas trop se protéger, sinon on ne ressent plus rien. Notre cœur devient de glace, on n’est plus qu’un mort vivant et la vie perd à jamais toute saveur.
Que serais-je sans toi ? de Guillaume Musso
» S’il y a une chose à laquelle tu tiens par-dessus tout, n’essaie pas de la retenir. Si elle te revient, elle sera à toi pour toujours. Si elle ne te revient pas, c’est que dès le départ elle n’étais pas à toi. »
Sauve-moi de Guillaume Musso
Certaines blessures ne sont ni reversibles, ni reparables.
L’appel de l’ange de Guillaume Musso
Les plus belles années d’une vie sont celles que l’on n’a pas encore vécues.