Vivre et croire, c’est aussi accepter que la vie contient la mort

Vivre et croire,
c’est aussi accepter que la vie contient la mort
et que la mort contient la vie.

C’est savoir, au plus profond de soi, qu’en fait, rien ne meurt jamais.

Il n’y a pas de mort, il n’y a que des métamorphoses.

Tu ne nous a pas quittés
Mais tu t’en es allé au pays de la Vie,
Là où les fleurs
Plus jamais ne se fanent,
Là où le temps
Ne sait plus rien de nous.

Ignorant les rides et les soirs,
Là où c’est toujours matin,
Là où c’est toujours serein.

Tu as quitté nos ombres,
Nos souffrances et nos peines.

Tu as pris de l’avance
Au pays de la Vie.

Je fleurirai mon cœur
En souvenir de toi,
Là où tu vis en moi,
Là où je vis pour toi.
Et je vivrai deux fois…

Père André Marie 

L’expression « vivre et croire, c’est aussi accepter que la vie contient la mort » évoque une perspective philosophique sur la nature de la vie et de la foi.

-Cette phrase suggère que la vie et la mort sont des composantes inextricables d’un même cycle. La vie ne peut être pleinement comprise ou appréciée sans reconnaître la réalité incontournable de la mort. La mort, loin d’être la fin, peut être vue comme une partie intégrante du processus naturel de la vie.

-En acceptant que la vie contient la mort, on reconnaît l’inévitabilité de la fin de chaque existence. Cela peut conduire à une attitude de résilience et d’acceptation face aux défis et aux pertes, car la mort n’est plus perçue comme une intrusion injuste, mais plutôt comme une composante inévitable du voyage humain.

– La référence à « croire » suggère une dimension philosophique ou religieuse. Accepter la mort peut être une partie intégrante de nombreuses croyances spirituelles. La foi peut fournir un cadre pour comprendre la mort comme une transition vers quelque chose de plus grand ou une nouvelle phase de l’existence.

-En reconnaissant la finitude de la vie, on peut être incité à apprécier davantage chaque moment. Le fait que la vie soit éphémère peut être une source de motivation pour vivre pleinement, chérir les relations, et poursuivre des objectifs significatifs.

-Comprendre que la vie contient la mort peut enseigner la valeur de l’impermanence. Rien dans la vie n’est permanent, et cela peut inciter à la gratitude et à une plus grande conscience du moment présent.

« Vivre et croire, c’est aussi accepter que la vie contient la mort » reflète une perspective holistique qui intègre la vie et la mort dans un continuum naturel.

Cette approche peut influencer la façon dont on appréhende l’existence, la manière dont on traite les défis et la façon dont on donne un sens à la vie.

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