Le pardon, c’est guérir les blessures de mon coeur
Ce coeur qui a été blessé tant de fois
Le pardon m’appartient,
Je n’ai pas besoin que celui qui m’a blessé fasse quoique ce soit.
Je peux arriver moi-même à cette libération .
Je pardonne pour mon bien.
Car je réalise que les rancunes et les blâmes m’emprisonnement et m’empêchent d’être libre, de m’aimer et d’aimer le monde qui m’entoure.
Je prends la responsabilité de la guérison, quelque soient les choses que j’ai vécues.
Je peux guérir et apprendre à ouvrir mon cœur à nouveau.
A faire confiance, confiance aux messages que m’envoient mon cœur.
Confiance aux messages que m’envoie ma tête.
Confiance aux messages que m’envoie mon corps.
Je mérite d’être en paix, de m’accepter, de me respecter, de m’honorer et de m’aimer .
C’est mon droit de naissance.
Le pardon n’est pas cautionner les actes ou les propos des autres.
Le pardon n’est pas nécessairement de se réconcilier avec l’autre.
Le pardon n’est pas oublier ce qui s’est passé mais en conserver les enseignements bénéfiques qui m’ont aidé à devenir plus fort, plus intègre, plus résilient, plus HUMAIN.
Je n’ai pas besoin que l’autre me demande pardon pour pouvoir pardonner .
C’est une décision intime qui m’appartient.
Car je ne veux plus vivre avec ces poisons qui m’accompagnent depuis si longtemps .
Pardonner n’est pas un cadeau que je fais à l’autre.
C’ est un cadeau que je m’offre à moi-même .
Car je suis la première personne que j ai besoin d’aimer sur cette terre afin de pouvoir partager cet amour avec d’autre .
Pardonner, c’est renoncer à son rôle de victime, car tant que je me considère comme victime, je donne le pouvoir de ma guérison à celui qui m’a blessé .
J’apprends à pardonner.
Je le mérite.
J’y ai droit.
J’apprends à m’aimer.
Je le mérite.
J’y ai droit.
Roger Bauman
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