.. oui … j’ai appris à marcher seul.
J’ai appris à laisser tout les poids derrière moi.
Ceux qui ne se sentent plus profondément connectés avec moi, même s’il y avait une belle connexion, même si c’était puissant.
J’ai appris à ne plus me disputer avec personne, après avoir donné mon avis .
J’adore quitter le jeu.
J’ai appris à marcher sans chercher les poignets autour de moi … bien que ce soit plus dangereux.
J’ai appris à toujours regarder devant, avec un seul regard, un seul, sur ce que je laisse derrière moi.
J’ai appris à ne pas être envahi par les souvenirs, parce qu’ils font déjà partie du passé.
J’ai appris à continuer mon chemin même si ceux qui m’aiment ont jugés ma façon d être .
J’ai appris à bien paraître de ceux qui prétendent marcher sur mes pas pour attirer l’attention et la gloire.
J’ai appris à marcher en faisant attention aux signes de la route elle-même.
Parce que c’est le chemin lui-même qui vous mène si vous connaissez la confiance et la foi … et le pas sera ferme.
J’ai appris à marcher sans sacs à dos sur mes épaules, rien ne sert sauf soi-même.
J’ai appris à laisser la vie arriver sans pousser ni tirer … Je marche et je continue à marcher … seul…
Simona Rivolta
Ce texte évoque une approche de la vie basée sur le lâcher-prise et la fluidité. Il met en avant l’idée que parfois, il est essentiel de simplement laisser la vie suivre son cours sans essayer de la contrôler de manière excessive.
« J’ai appris à laisser la vie arriver sans pousser ni tirer » signifie que la personne a pris conscience que forcer les choses ou essayer de contrôler chaque aspect de sa vie peut souvent être contre-productif. Parfois, il est plus sage de faire confiance au processus de la vie, de laisser les choses se dérouler naturellement, sans intervention constante.
« Je marche et je continue à marcher… seul » indique que cette approche peut impliquer un certain sens de l’indépendance et de la solitude. Cependant, marcher seul peut être interprété comme une métaphore de la croissance personnelle et de la découverte de soi. En marchant seul, on a la possibilité de réfléchir, d’apprendre, et de se connecter avec son moi intérieur.
Ce texte suggère donc que le lâcher-prise, la patience et la confiance envers la vie peuvent mener à une expérience plus enrichissante et moins stressante. C’est une invitation à embrasser le flux de la vie plutôt que de résister constamment aux changements et aux défis.
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