Il arrive souvent que lorsque l’on s’y attend le moins, les choses se passent bien ! Même lorsque tout semble s’effondrer, lorsque notre vie semble programmée dans les moindres détails, l’imprévu fait son apparition.
C’est au moment où l’on s’y attend le moins que l’on trouve la force nécessaire pour avancer. On se relève, on décide de vivre, et cela réussit. Le calme vient toujours après la tempête, sans exception.
C’est à cet instant inattendu que l’on se retrouve soi-même. On commence à être la personne que l’on souhaite être, à faire ce que l’on désire vraiment, en cessant de se soucier de décevoir les autres. On se dirige là où nous souhaitons réellement aller.
La plus grande prison est celle de notre esprit. J’ai appris que le monde nous pousse à être rapides, afin que l’on soit constamment en mouvement, ne laissant derrière nous que le son de nos pas. C’est pourquoi nous nous précipitons. Cependant, il vaut mieux avancer dans le calme, apprendre de chaque instant, même les plus difficiles, car nous pouvons en tirer profit.
Nous savons tous que vivre n’est pas facile, mais naviguer en haute mer et résister aux vagues de notre embarcation l’est encore moins. Néanmoins, aucun chemin n’est infranchissable. Si nous tombons mille fois, nous nous relèverons mille et une fois.
Et un beau jour, nous commençons à remporter quelques batailles.
Tôt ou tard, toutes les pièces finissent par s’assembler. En attendant, riez de la confusion, vivez le moment présent et comprenez que tout arrive pour une raison. Soyez fort, résistez et travaillez dur pour affronter vos peurs, car moins vous tentez de les affronter, plus il est difficile de les surmonter. La vie, c’est ce qui se passe aujourd’hui, pas demain.
On dit souvent que lorsque l’on touche le fond, on ne peut pas descendre plus bas. Il ne nous reste donc plus qu’à prendre appui et à nous en sortir. Le secret est de regarder vers le bas, de trouver un point d’appui et de s’en échapper.
Dans la vie, lorsque nous touchons le fond, le secret est de ne pas se mentir, d’admettre et d’accepter ce que nous refusons de voir, de valoriser ce que la tristesse nous enseigne et de guérir nos blessures émotionnelles.
Le soleil finit toujours par briller !
Tout à coup, quelque chose se produit, et à ce moment-là, vous savez que les choses vont changer, qu’elles ont déjà changé. À partir de là, plus rien ne sera jamais pareil… JAMAIS. La souffrance est plus grande lorsque nous n’avons pas de solution.
Nous recherchons la stabilité et la permanence, mais nous ignorons que rien n’est figé, que ce qui est construit peut s’effondrer, que ce que nous voulons peut finir par ne plus nous convenir, que ce que nous possédons peut se perdre.
Accepter que notre vie soit en constante évolution est un moyen pour nous de prendre appui et de nous en sortir, pour voir le soleil.
Nous avons été brisés, mais nous avons réussi à guérir nos blessures, à pardonner aux autres et à nous pardonner à nous-mêmes.
Il est important d’accepter notre vulnérabilité, car nous avons souvent peur d’atteindre le fond. Le secret réside dans le fait de ne pas laisser notre bateau dériver, de ne pas se laisser aller. Être courageux signifie faire des choses qui nous demandent un effort, mettre notre cœur à l’ouvrage.
Lorsque nous abattons les immenses murs qui se dressent devant nous, un nouvel horizon s’ouvre à nous.
Nous percevons le monde différemment et nous avançons silencieusement dans la vie en gravissant des marches encore plus difficiles à atteindre que les précédentes, qui nous font également faire face à un abîme.
C’est lorsque nous écoutons l’écho désespéré du vide que nous entendons la voix de notre vie nous murmurer de résister, car pour être heureux, il faut d’abord être fort.
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