Très souvent, les gens qui sont censés nous aimer ne sont pas toujours en mesure de nous donner le genre d’amour dont nous avons besoin.
Qu’ils soient nos mères ou nos pères, nos grands-parents ou nos frères et sœurs, une famille, quelle que soit leur intention, nous laissent nous sentir vides, invalides, désintéressés et seuls.
Et les jours où cette douleur devient trop insupportable, notre travail consiste à reconnaître que toutes ces personnes ne peuvent répondre à nos besoins. Non pas parce qu’ils ne se soucient pas de nous, mais parce qu’ils ne peuvent pas changer qui ils sont.
Leur faible affection n’est pas une réflexion sur notre valeur.
Ce n’est même pas à propos de nous. C’est à propos d’ eux et de leurs propres limites et luttes. Il s’agit de leur façon unique d’exprimer leur amour et le fait qu’il ne correspond pas à la nôtre. Et nous ne pouvons rien contre cela.
Ce dont nous avons besoin, c’est de commencer à toucher les bonnes personnes. Nous devons créer une famille de personnes en dehors de notre famille. Les gens qui peuvent répondre à nos besoins et réciproquement notre amour.
Nous devons apprécier notre famille pour les façons dont elle a été capable de s’occuper de nous, et d’accepter qu’elle n’a pas toujours eu les moyens de faire autrement.
Même si nous ne sommes pas d’accord avec cela, c’est pourtant la réalité :
chacun fait du mieux qu’il peut avec les connaissances qu’il a au moment où il le donne….
Nous devons faire la paix avec qui ils sont et si nécessaire, nous devons nous donner l’autorisation de lâcher prise.
Nous devons savoir que notre valeur n’est pas quelque chose que l’amour d’une autre personne peut donner ou emporter.
Nous devons faire confiance à cela avec ou sans leur affection, nous sommes assez.
Daniell Koepke
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