Je me suis laissée plonger dans le chagrin, j’ai pas lutté…
«Je me suis laissée plonger dans le chagrin, j’ai pas lutté … Et puis, un jour, je me suis dit : tu peux encore sourire, tu peux encore marcher, tu es en bonne santé, tu as toutes tes facultés. Il y a plein de choses à faire, plein de gens à rencontrer, et la joie est revenue. La joie de vivre. C’était inexplicable. J’ai eu à nouveau envie de vivre.»
Katherine Pancol
Il y a des gens dont le regard vous améliore. C’est très rare, mais quand on les rencontre, in ne faut pas les laisser passer.
Les yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol
Je crois bien que c’est ça le vrai amour : avoir l’impression d’être dans sa vie, pas à côté. Au bon endroit. Ne pas avoir besoin de se forcer, de se tortiller pour plaire à l’autre, rester comme on est.
Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi de Katherine Pancol
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident.
Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails.
Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue…
Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…