….Attention aux femmes qui ont souffert.
Je vous préviens : faites attention à ne pas leurs faire de mal.
Aux femmes qui ont souffert.
Elles sont sensibles,
Mais elles sont fortes, tenaces, courageuses,
Elles peuvent paraître fatiguées, affaiblies,mais ne vous risquées pas à tirer profit de leur vulnérabilité apparente.
Les femmes qui ont souffert ont connu la lutte, la douleur, le mal, la souffrance, l’angoisse, le désespoir, la tristesse et n’ont plus peur : ils ont appris à se battre, à lutter, à se défendre, à surmonter l’adversité, à S’imposer sur le mal, ne pas se rendre.
Et elles l’ont fait.
Les blessures qu’ils portent témoignent à quel point la bataille a été dure et sont des signes de leur persévérance.
N’essayez pas de gagner avec les femmes qui ont souffert, ils ne vous le permettront pas.
Si vous avez quelque chose pour eux, donnez-leur de l’attention et du respect. Apprenez d’eux.
Mais je vous préviens, faites attention à ne pas faire de mal aux femmes qui ont souffert….
» Laissez moi vivre pour ce que je suis. Terriblement émotionnelle que je ne peux retenir mes larmes devant ce que me présente la vie en bonheur ou en peine , humble quand je me remets en question, si cohérente dans mon incohérence quand je reviens sur mes pas. Laissez moi vivre pour ce que je suis.
Terriblement fragile mais sans réelle faiblesse , avec cette immense peur des choses que j’affronte mais qui ne m’a, jamais, empêchée d’agir, consciente que ma manie d’aller toujours plus loin me laisse souvent sans forces.
Dans ma manie de procrastination ponctuelle où règne l’espoir d’un signe de meilleur et celle de me retrancher dans ma bulle, ma protection, mes rêveries d’ailleurs et de paix, espace vital à mon âme, à mon cœur, mon essentiel.
Laissez moi vivre pour celle que je suis. Terriblement amoureuse de la vie, capable de me perdre dans un coucher de soleil, dans un vol de papillon, les notes et les mots d’une chanson. Laissez moi vivre celle que je suis, perdue dans mes souvenirs les plus beaux, avec mes sauts dans le passé, mes promenades dans le présent et ses obstacles. Mais les yeux vers l’horizon, toujours.
Toujours les yeux vers l’horizon ».
Copyright Asha
Livres conseillés, cliquez sur l’image ( Liens affiliés )