C’est tout au fond de soi, dans l’obscurité des failles profondes, que l’on trouve parfois la force de se battre pour la lumière.
L’amour sans respect n’est pas l’amour.
En prendre conscience et le fuir ne constitue ni un échec ni même une défaite, mais une grande, une très grande victoire.
On retrouve dans Pars avec lui l’univers tendre et attachant d’Agnès Ledig, avec ses personnages un peu fragiles, qui souvent nous ressemblent.
L’auteur de Juste avant le bonheur sait tendre la main aux accidentés de la vie, à ceux qui sont meurtris, à bout de souffle.
Mais aussi nous enseigner qu’envers et contre tout, l’amour doit triompher, et qu’être heureux, c’est regarder où l’on va, non d’où l’on vient.
J’avais eu un vrai coup de cœur pour Juste avant le bonheur à travers lequel j’ai découvert cette auteur, c’est donc avec un plaisir anticipé (et pleine d’attentes !) que j’ai attaqué ce nouveau roman de Ledig.
Merci aux éditions Albin Michel pour cette lecture.
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